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La vengeance d’une secrétaire sur son patronJe suis secrétaire depuis 15 ans dans une société en conseil financier composé de 35 salariés J’ai pendant longtemps apprécié mon métier mais ces derniers mois, l’ambiance est devenu pesante.Nous avons eu un renouvellement des personnes dirigeantes et un jeune cadre arriviste même pas trentenaire a pris les commandes de la société.Ce jeune loup est l’archétype du cadre financier imbu de sa personne, arrogant et n’ayant que peu d’estimes pour ses subalternes.Je le soupçonne de prendre régulièrement de la cocaïne car il change d’humeur assez fréquemment et passe par des périodes de grande excitation.Alors que les premières semaines s’étaient bien passées, mes relations professionnelles avec ce jeune homme se sont détérioréesIl fait souvent montre d’agressivité, me reprochant à tort diverses choses et n’hésitant pas à jouer les gougeât même si je le soupçonne d’avoir un faible pour les hommes.Les journées sont de plus en plus éprouvantes et pour le première de ma vie mes problèmes professionnels ont un impact négatif sur ma vie privée. J’en suis vraiment à détester ce petit merdeux.Ce début de semaine fut particulièrement tendu. Souhaitant boucler plusieurs dossiers avant les vacances il m’a affecté une charge de travail inhabituelle.Le jeudi matin, comble de malchance, mon adjointe m’appelle pour me signifier qu’elle était en arrêt maladie.Ce qui m’affecta le plus dans cette nouvelle est que j’allais me retrouver l’après-midi seul avec mon supérieur. Nous étions fin Juillet les 3/4 quarts des personnes étaient en vacanceet les autres en clientèle. La chaleur en ces jours-ci était à son comble. J’avais opté pour une tenue vestimentaire très estivale avec un jupe courte et des escarpins ouverts à talons assez élevé.Comme prévu, je me retrouvai l’après-midi seul avec mon supérieur dans cet open-space qui ne m’avait jamais paru aussi grand.Il était revenu, plus tard que d’habitude du déjeuner que je devinai alcoolisé au regard de son haleine avinée et de yeux brillants.Me sachant seule, je m’étais installée sur le canapé en cuir de l’accueil pour relire un dossier en plaçant mes jambes sur la table basse.Mon supérieur semblait troublé, était-ce l’effet de l’alcool ou celui d’une autre drogue que la cocaïne ? en tout cas il me pressa de question diverses comme à son habitude mais semblait préoccupé.- Sebastien, avez-vous quelque chose à me dire ?- Non mais vous savez j’ai tellement de choses à régler … c’est vraiment difficile de devoir tout gérer par soi-mêmeJe pris cette remarque comme un reproche, cela m’agaça car je faisais pourtant le maximum et cela sans la moindre reconnaissance.Mais au-delà de ma colère contenue, je remarquai dans son regard quelque chose qui ressemblait à de la concupiscence. Ce qui me troublait le plus est qu’il avait sans cesse ses yeux qui dérivaient sur mes pieds. Il essayait de mater mes pieds avec discrétion mais c’est clair qu’il faisait une fixation.En un instant, je me remémorai la liaison qu’avait entretenue ma meilleure amie avec un homme aux mœurs sexuels particuliers. canlı bahis şirketleri Elle m’avait raconté tous les détails croustillants et notamment le fait que cet homme prenait son plaisir à se retrouver aux pieds des femmes pour les leur masser ou les embrasser sans discontinues.Ce fétichisme des pieds féminins était accompagné de fantasme de soumission, et plus mon amie s’amusait à l’humilier plus il demandait à être soumis et devenait docile. Elle arrivait à en faire ce qu’elle voulait. Mon amie se lassa finalement de la situation mais j’avoue avoir été très intéressée par la description de cette relation.Je fis donc le lien avec les regards insistants de mon supérieur sur mes chaussures. Etait-ce le même type d’homme ? Si oui pourquoi ne pas en profiter ?- Sebastien, je remarque que vous semblez beaucoup aimer mes escarpins à talons, est ce que je me trompe ?Surpris par la question, il se mit aussitôt sur la défensive en bredouillant quelques excuses minable- Non …. j’avais juste … le regard dans le vague.Je décidai alors d’y aller de manière plus maligne.- Vous aimez les femmes en talons ?- Oui j’adore cela- Et comment trouvez-vous mes chaussures ?- Elles sont superbes !Sa réponse fut directe et enthousiaste, je tenais le bon bout, il fallait que je passe à l’étape supérieure- Voulez-vous me déchausser pour mieux les apprécier ?A ma grande surprise sa réaction fut immédiate. Il s’approcha de moi se mit à genoux et me retira délicatement mes escarpins. Il semblait hypnotisé par ces dernières.- Je pense qu’elle ne brille pas assez, voulez-vous vous en occuper pendant que je finis de relire un dernier dossier. D’ailleurs je vais m’asseoir à votre bureau et vous allez vous mettre au pied du mien.Il s’exécuta sans broncher. Je ressentis à ce moment-là une envie d’exercer le pouvoir sur un homme qui me maltraitait depuis plusieurs semaines.- Sebastien, en fait c’est surtout au niveau des semelles que mes escarpins ont besoin de nettoyage, veuillez les nettoyez avec votre langue je pense que cela sera plus efficace.Pendant qu’il léchait de manière pathétique le dessous de mes escarpins à genoux au pied de mon bureau, je m’installai à son bureau et commençai à trier quelques papiers.Je tombai sur un papier dans lequel il avait notifié ses impressions premières qu’il avait eu sur tous les employés de la sociétés.Quand je vis mon nom, je vis qu’il me qualifiait de cruche juste bonne à servir les café mais au potentiel sexuel intéressant. Cette découverte me mis hors de moi.Je me précipitai vers lui, instinctivement l’attrapa par les cheveux et lui mis son visage devant la feuille.-Peux-tu m’expliquer cela ?-cela ne vient pas de moi- Sale porc je reconnais ton écriture. Nous allons remettre les choses à leur place, Déshabille-toi entièrement ! Il se retrouva en slip debout devant moi- Je t’ai dit entièrement, allez vire moi ce slip !Son slip tomba à ses pieds et je vis immédiatement que sa queue était incroyablement raide. D’ailleurs ce salaud était très avantagé par la nature, sa queue était d’une dimension impressionnante et ses couilles canlı kaçak iddaa ressemblaient à deux grosses boules de pétanques. De ce côté-là, il était bien fourni. D’ailleurs je ressenti un certain trouble devant cette queue qui me faisait face fièrement. Je restais plusieurs secondes à l’observer puis l’envie me pris de caresser ce membre pour lui fournir une excitation supplémentaire. J’attrapai ses couilles avec mon autre main.Mon dieu qu’elles étaient grosses et particulièrement douces. Je repris mes esprits pour lui donner l’ordre suivant – Maintenant tu vas finir le travail que tu m’a donné pour cette fin de semaine, ne t’inquiète pas je vais fermer la porte d’entrée afin que personne ne puisse nous déranger.Je le laissai travailler ainsi pendant plus d’une heure. Ce qui était incroyable est que sa queue ne perdait pas de sa vigueur. Au bout d’un moment je l’interpellai – Veux-tu me ramener un caféIl s’exécuta et me servit avec délicatesse- maintenant, je veux te vois à plat ventre au sol, à mes pieds pour les masser et les embrasser tendrement.La situation était délicieuse, mon patron nu à mes pieds prêt à répondre à toutes mes exigences. Il me baisait les pieds avec délicatesse. Je le fis mettre sur le dos pour me servir de son visage de repose-pieds. Ma colère cependant n’était toujours pas retombée. Je ne voulais pas en rester là, j’estimais que ma vengeance n’était pas encore totale. Je repensai alors à mon amie avec son amant soumis.Elle me racontait qu’elle servait de lui aussi aux toilettes et qu’elle avait pris l’habitude de se servir de la bouche de son soumis pour lui uriner dedans. C’était le signe de soumission ultime. Je me décidai à lui faire subir le même sort.- Maintenant, tu vas venir m’accompagner aux toilettes, j’ai un dernier travail à te faire faire. Je le pris par les cheveux et le fit me suivre à quatre pattes aux toilettes femme. – La femme de ménage m’a souvent fait remarquer que les toilettes hommes étaient une vraie porcherie. Je vais t’obliger à te mettre à sa place mais de manière différente. Je le fis positionner sa tête en arrière devant la cuvette des toilettes. Par contre je ne souhaitais en aucun cas qu’il puisse entrevoir ma chatte. Je trouvais un chiffon destiné au nettoyage des toilettes pour lui bander les yeux. Il était prêt. Je restai un instant à le toiser et je me rendais qu’il n’avait opposé aucune résistance. Il prenait certainement du plaisir à être traité ainsi au regard de l’état de sa queue. D’ailleurs cela me contraignait de savoir que je lui permettais de se procurer des sensations qu’il devait trouver agréables mais je décidais de passer outre. Il fallait avant tout remettre les choses à leur place et assouvir mon désir de vengeance.Je retirai ma culotte puis me positionnai devant lui afin de pouvoir vider ma vessie dans sa bouche- Ouvre la bouche, tu vas me servir de toilettes. Attention aucune goutte ne doit sortir de ta petite bouche, tu vas devoir tout boire.Je commençai à envoyer un premier jet, je me rendis compte qu’il était difficile d’atteindre avec précision l’endroit canlı kaçak bahis souhaité. Une partie éclaboussa son visage.Afin d’avoir un meilleur résultat je le pris par les cheveux et avança ma chatte au plus près de son visage afin de gagner en précision.Il profitait ainsi totalement de mon jet puissant ce qui provoqua un étouffement. Sa bouche était pleine il fallait que lui laisse le temps de tout avaler.Je finis ainsi de me vider la vessie. Je pris ma culotte et lui enfonça dans la bouche comme pour mettre un terme à sa douche dorée.Je lui retirai son bandeau, pris un peu de recul, et le toisa avec délice- Pauvre minable, ta position de supérieur est vraiment mise à mal cet après-midi. Ce qui est le plus pathétique est de voir que tu gardes la queue raide après tout ce que je viens de t’infliger !Il fallait immortaliser cet instant, je pris mon smartphone et pris plusieurs photos de mon supérieur dans cette position d’infériorité.- Maintenant je te tiens, donc si tu continues à m’emmerder dans mon travail, je publie ces photos illico dans la boite mail de tous nos collègues.Que vont-ils penser de leur chef en train de bander comme un âne après s’être fait pisser dessus aux toilettes des femmes avec une culotte féminine dans la bouche. Donc je crois que tu as compris non ?Il me fit signe de la tête pour donner son accord. Je lui retirai ma culotte de sa bouche que je remis dans mon sac. Pas question de remettre cette culotte avec la bave de cette ordure. Tans pis je prenais le risque de rentrer sans culottes. Il fallait juste que mon mari ne ‘en aperçoive pas.- La femme de ménage ne va pas tarder à arriver, tu vas donc remettre les choses en ordre, je veux des toilettes nickels.Puis en un instant devant son regard apeuré j’eu une pulsion d’indulgence. Je m’approchai doucement de lui puis commença à att****r sa queue toujours bandante.Je commençais doucement à le branler- Je dois t’avouer que tu as une belle queue avec une vigueur incroyable, c’est certainement ce qui a de mieux chez toi. Tout en continuant à le branler en douceur je lui demandai en chuchotant- As-tu aimé cet après-midi ? as-tu aimé te comporter comme le larbin de ta secrétaire ? Sera tu désormais toujours ainsi avec moi ?- Oui je te le promets.- Merci c’est que je voulais entendre. Est-ce que tu souhaites que je te fasse jouir ? – Oui s’il te plaitJe souris tendrement, j’accélérai le rythme et au moment où je sentais qu’il allait craquer je m’arretai net. Je laissai passer quelques secondes. Il était au bord de la jouissance. Je le voyais presque en train de tirer la langue comme un chien avec des yeux me suppliant de finir le travailJe lui attrapai ses grosses couilles, elles étaient douces. Puis tout en exerçant une pression de plus en plus forte sur ses boules je le regardai dans les yeux et lui dit- Tu as vraiment cru que j’allais te faire jouir. Pauvre minable, crois-tu vraiment mériter cela ? Si tu veux te vider les couilles je t’autorise à le faire seul assis devant ses toilettes au milieu de cette flaque de pisse. Moi je rentre, n’oublies surtout pas que tout est dans mon smartphone. Bonne soirée monsieur le supérieurJe pris mes affaires, en jetant un dernier coup d’oeil sur mon patron, je vis que ce dernier se branlait. Cela me dégoûtait. J’étais satisfaite. Ma vengeance sur cet homme avait été totale.
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