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Liliane (chapitre 1. Le commencement)Liliane Chapitre 1 : Le commencement.Je vais vous raconter ici une histoire mêlant beaucoup de fantasmes ainsi qu’un peu d’expérience sur un bref épisode de ma vie.Tout d’abord une petite présentation de votre narrateur : au moment du récit, j’avais 18 ans. Je n’avais pas un corps d’athlète bien que je pratiquais régulièrement la boxe. Je mesurais un petit mètre soixante-quinze pour 95 kilos. Je suis brun aux yeux marrons.Afin que vous compreniez le commencement de l’histoire, il faut tout d’abord que je replace le contexte. Je vivais avec ma mère dans une petite ville de 15 000 habitants dans le haut Var. Nous vivions dans le vieux centre-ville assez vétuste et un jour notre voisin du dessus a eu un dégât des eaux. Par manque de prévoyance, nous nous sommes vu contraints de partir avec le peu d’affaires qu’il nous restait chez la meilleure amie de ma mère. Cette dernière vivait aussi dans le centre. Cependant, elle logeait dans des immeubles plus récents. Heureusement qu’elle a eu la gentillesse de nous héberger le temps que ma mère trouve une solution à notre problème.Pour que vous cerniez mieux la situation, je me dois de vous décrire cette amie : elle s’appelait Liliane. Au moment du récit, elle avait 52 ans. Elle était blonde aux yeux bleus, yeux qui étaient cachés derrière de fines lunettes de vue. Elle mesurait un mètre soixante dix sans talons pour soixante kilos grand maximum. La nature lui avait donné une poitrine généreuse et ferme. Liliane était très coquette. Elle allait une fois par mois chez la coiffeuse du quartier et allait aussi souvent chez l’esthéticienne et au salon de massage. Elle renouvelait régulièrement sa garde-robe bien que restant tout le temps dans le même univers, un canlı bahis look assez BCBG. Elle disposait aussi dans sa garde-robe de beaucoup de cuir. En effet, de l’automne au printemps, il était très habituel de la voir porter cette noble matière qui lui allait à ravir. Elle disposait de bottes (plates ou à talons) ; cuissardes ; pantalons ; robes ; et une très jolie veste trois quarts.Liliane était une femme douce, gentille, très conciliante et à l’écoute.Je dois bien vous avouer que bien avant qu’elle nous ouvre ses portes, elle était au cœur de mes masturbations quotidiennes de jeune célibataire puceau. Rien que ça garde-robe bien fournie en cuir comblait mes fantasmes de jeune fétichiste.Au début, les premiers jours de notre installation se sont passés de la plus normale des manières. Ma mère travaillant avec des horaires compliqués, j’étais souvent seul avec Liliane. Je l’aidais dans les tâches ménagères. Ce qui était bien, c’était qu’elle m’aidait régulièrement pour mes devoirs. Nous étions déjà complices avant qu’elle nous recueille car je la voyais souvent mais là, nos rapports s’accentuaient. On parlait et on riait. Nous avions une relation comme on peut en avoir avec une tata en somme.Le dimanche soir, alors que je partais me coucher tôt pour être en forme pour le début de la semaine, j’entendis par la cloison fine du mur une conversation particulière :— Dis-moi, Lili, on t’embête pas trop avec le petit ? Je sais que tu as l’habitude de recevoir. Si tu veux, on peut aller le week-end prochain chez ma mère.— Mais non, voyons ! C’est vrai que d’habitude, je reçois mes amants. Bah, écoute, je profite de la journée quand tu travailles et que Lucas est au lycée pour recevoir. Puis le soir, ne t’en fais pas : j’ai ce qu’il faut dans bahis siteleri ma chambre.— Bon, alors ça va mais tu sais que si tu as besoin d’un week end, tu n’as qu’à le dire. En parlant de ça, tu ne m’as pas dit ce que tu avais dans ta caisse.— Ne te fais pas de soucis.J’entendis le bruit d’un baiser puis un doux gémissement avant d’entendre à nouveau la voix de Liliane.— Attends, je vais faire mieux que de te dire. Je vais te montrer.Liliane partit dans sa chambre et retourna dans le salon. Je les entendis commenter ce que je savais être des sextoys, puis le son de la télé augmenta légèrement. Je pus toutefois entendre le bruit de vibration et de gémissement que toutes les deux poussaient.J’ai dû me branler trois fois pour réussir à m’endormir ce soir-là. J’avais déjà entendu certains soirs ma mère au téléphone parler de cul avec Liliane. Elles se racontaient tout mais j’étais loin de m’imaginer que toutes les deux pouvaient aller plus loin que se raconter leurs expériences personnelles.Le lendemain, je pensai toute la journée à ce que j’avais entendu la veille.En rentrant du lycée l’appartement étant vide, je profitai de ce moment de solitude pour aller à la recherche de la fameuse petite malle aux plaisirs. Après avoir fouillé le dressing de Liliane et n’avoir rien trouvé, excepté le plaisir du contact de ma main sur le cuir, je regardai sous son lit et bingo : une bonne vieille valise. Ça ne pouvait être que ça alors je la sortis de sous le lit et l’ouvris.Je découvris alors tout ce que je voyais habituellement dans mes pornos du soft au trash sado maso, il y avait : des plugs plus ou moins grands, des godes, des vibros, un gode ceinture, une cravache, un fouet, des menottes en cuir, un bandeau pour les yeux, des coockrings bahis şirketleri et un collier en cuir avec une médaille sur laquelle l’inscription « soumis » était inscrite.Il y avait aussi des bâillons, des boules et même un écarteur. Une boîte dans le coin de la valise contenait des outils médicaux tels que sondes et aiguilles. Dans le fond de la caisse, je trouvai un DVD fait maison. Je ne pourrais vous dire pourquoi je décidai de le prendre puis je remis tout en place. Je partis cacher le DVD dans mes affaires et allai m’enfermer dans la salle de bain pour me branler. Inutile de vous dire qu’après cette fouille qui pour moi était une première, j’avais un taux d’excitation au summum. Poussé par une envie immense, j’ouvris le panier à linge salle et attrapai la culotte que Liliane portait la veille. Je la portai instinctivement à mon nez. Elle sentait fort. Le bout de ma langue alla au contact du tissu puis j’enroulai alors la culotte autour de ma verge tendue au possible. En quelques allers-retours dans ma main, ma semence inonda le tissu. Alors que je reprenais mes esprits, je pris soin de replacer la culotte au fond du panier. Je me passai de l’eau sur le visage, moi-même surpris par ce que je venais de faire puis j’entendis la clé tourner dans la serrure. Je restai un peu dans la salle de bain puis je tirai la chasse pour ne pas me faire remarquer.Liliane me salua et me fit un doux baiser sur la joue comme à son habitude. Cette fois-ci, ce baiserprovoqua en moi un grand frisson. Le reste de la soirée se passa plus ou moins normalement. Ma mère était rentré du boulot entre temps mais je ne faisait que de penser à ce que j’avais fait bien que j’essayais du mieux possible de ne rien laisser paraître. Ces deux femmes durent s’apercevoir que quelque chose n’allait pas. Je décidai donc d’aller me coucher tôt.Je publie à nouveau, le texte à était modifié et corriger (si tu le le lis je te remercie encore). Lectrices, lecteurs j’attend vos commentaires.
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