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Ne vais-je pas le regretter ? (2)Auteur : Désirscandau 14 h… il faut que je reprenne le boulot. Ça ne va pas être évident de se reconcentrer. J’attends une réaction de ma belle, rien ne vient… 15 h…16 h…17 h… et toujours rien, bizarre !Plus le temps passe et plus je me mets à douter. Ne me serais-je pas laissé dépasser par le fantasme ? N’ai-je pas répondu un peu vite ? L’excitation n’est pas toujours de bon conseil… Non, il faut que j’arrête de cogiter, cela fait des années que j’en rêve et puis de toute manière, maintenant les dés sont jetés, elle a été claire à ce sujet… Depuis le temps que j’insiste et la tente, plus de retour possible, je n’ai plus qu’à assumer.Aucune réaction de sa part, zéro retour, bizarre quand même ?18 h, ma journée arrive à son terme, toujours aucune nouvelle d’Audrey quand enfin mon téléphone vibre :— Hep, mon cocu ! Tu es là ?Whhouaa, plus de « mon bidou » ni de « mamour » ou autres diminutifs du genre ? Juste « cocu ». Ça je ne m’y attendais pas, mais vu les frissons qui me reprennent, ce n’est apparemment pas pour me déplaire. La main tremblante je réponds un timide :— Oui… Tu ne peux pas t’imaginer comme ta réponse m’a fait plaisir.— À ce point-là ?— Oh oui ! J’en rêvais… je n’osais pas, j’avais même mauvaise conscience et aussi des remords.— Tu m’offres le confort et la sécurité du couple avec, en cerise sur le gâteau, la liberté du célibat. Je ne pouvais rêver mieux. Je t’aimais, je pense t’aimer plus encore comme cocu.— Ben cool ! Tant mieux si t’es contente…— Très oui, et depuis que je ronge mon frein tu vas être servi…— Tant que t’es heureuse, ça me va…— Bon, mon cocu. Pour l’heure, fais manger les enfants ce soir, je ne sais pas à quelle heure je rentrerai.— Ben pourquoi ?— Rappelle-toi, pas de compte à rendre… bises.— Audrey ?J’insiste :— Audrey ?…Mais toujours rien, silence radio… Me teste-t-elle ? Non, elle ne peut pas déjà avoir un amant en vue ! Elle aurait quand même pu me dire où elle comptait aller, ce qu’elle comptait faire, à quelle heure elle comptait rentrer afin d’éviter que je ne m’inquiète. Rien n’est plus angoissant que de rester dans le doute.Je rentre donc à la maison, les enfants sont déjà là, oui ils sont déjà un peu autonomes, l’aînée ayant dix-sept ans et la cadette douze ans. Je prépare vite fait quelque chose à manger, me démène pour les déscotcher de leur tablette. Il est 22 h lorsqu’ils sont enfin dans leur chambre. Un brin de rangement et je regagne la mienne.Un coup d’œil à mon portable, mais mis à part quelques notifications Facebook, rien… 22 h 30… 23 h… 23 h 30… 23 h 31… 32… Toujours pas de news, mais où est-elle ? Un brin d’inquiétude… Tous les scénarios possibles me traversent l’esprit, des plus inquiétants aux plus excitants. Elle aurait tout de même pu me dire quelque chose ! Elle a dû être embarquée à la dernière minute dans une soirée entre copines. Une soirée plus coquine ? Je ne lui connais pas d’amant ces derniers temps. Aurait-elle repris contact avec son ex-amant, Paul le maître-nageur des thermes où elle travaille ? Ils avaient déjà couché ensemble l’année dernière, mais leur relation avait coupé court, car il ne la trouvait pas suffisamment disponible et attendait autre chose que du sexe.À moins qu’elle n’ait décidé de partir en chasse afin de fêter en célibataire sa toute récente liberté retrouvée ? Non, ce dernier scénario n’est pas crédible, trop dangereux et ça ne lui ressemble pas…2 h du matin et toujours rien. Je l’imagine lovée dans les bras d’un autre, inutile de m’inquiéter, j’ai voulu être cocu, c’est donc maintenant le seul scénario plausible, et ça m’excite… Je n’arrive pas à dormir, j’ai besoin de relâcher aydın escort la pression. À l’idée que mon trésor puisse en ce moment assouvir ses désirs charnels, ma queue se dresse, formant un chapiteau sous la couette… Bon, je me vante un peu, mais c’est bien légitime, personne n’est là pour vérifier. Bref, je suis excité. Alors, je commence une douce branlette. J’imagine Audrey dans toutes les positions, une belle queue entre les lèvres, la transperçant, l’excitation monte encore d’un cran. Je l’imagine recevoir des flots de sperme dans les entrailles et hurler de plaisir, je me branle alors comme un sourd, la sève monte… et une puissante éjaculation finit par se répandre sur mon ventre. Le premier flot m’atteint l’épaule, le second le pec’ gauche, le troisième le nombril, au quatrième la lumière s’allume. Je tourne la tête, Audrey !–––oooOooo–––Grand moment de solitude, je suis allongé sur le dos, jambes écartées, je me tiens les couilles de la main gauche, mon mandrin de la main droite, le ventre tapissé d’un liquide séminal épais et visqueux et ma femme à la porte dubitative et interrogative… La surprise m’en fait perdre mes moyens et je n’arrive qu’à balbutier quelques mots incohérents :— Euhhhh… ché… ché… rie… déj… déjà là ?Interrogation incohérente venue dans l’urgence, vu l’heure tardive, j’ai en retour une réponse pas moins saugrenue :— Ben oui, désolée de te déranger. J’ai songé à dormir sur place, mais je me suis dit que je n’allais quand même pas découcher le premier soir… C’est ton nouveau statut qui te met dans un tel état ? me demanda-t-elle l’air sournois, un sourire en coin.Gêné, honteux même, je tente de vite rabattre le drap afin de cacher l’objet du délit tel un adolescent pris en flagrant délit, mais elle m’arrête net dans mon élan retenant mon initiative du bout du pied. Mon visage vire au rouge vif, ma voix bafouille :— Ben… heu oui, im… maginer que ce soir tu aies pu, pren… prendre du plaisir avec un autre alors que je… j’a… j’attendais ton retour a boosté mon ex… citation et mes fantasmes.— Tant mieux ! T’es un bon cocu, me dit-elle d’un ton suave. Je suis fière et heureuse de la tournure que tout cela prend.Du bout du pied elle récupère le premier flot de sperme ayant atterri sur mon épaule et doucement l’approche de ma bouche en me demandant :— Dis-moi, mon cocu d’amour ? Ça t’intéresse de savoir ce que j’ai fait de ma soirée ?— Je suis curieux, oui.— OK, c’est ce que j’espérais. Je vais te le dire, mais avant, lèche-moi le pied, mon cocu !— Mais… euhhh, noonnn !Je n’ai jusqu’ici jamais goûté de sperme. J’avoue que cela ne me tente pas du tout et ne fait pas partie de mes fantasmes. Bien au contraire, j’en éprouve même un certain dégoût…— Mais si, mon chéri, c’est le prix à payer. Tu t’assouvis tout seul en fantasmant sur je ne sais quoi, si tu veux être un bon cocu, et avoir un peu de détails ce soir, il va falloir accepter mes conditions. C’est ça ou rien, tant pis ! me dit-elle en faisant la moue tout en rapprochant encore ses orteils enduis de ma semence.Son comportement nouvellement directif à mon égard m’électrise, la curiosité étant, elle aussi, très forte j’entrouvre doucement les lèvres. Un sourire émane alors de son visage. L’air ravi et victorieux, elle glisse alors doucement la pointe de son pied dans ma bouche.La forte odeur qui en émane me dégoûte d’abord, mais ce n’est finalement pas si mauvais. Petit à petit, ma langue louvoie autour de ses orteils avec de plus en plus de plaisir et d’appétit. Je voulais être à ses pieds et je crois que je suis servi !— Oh… mais c’est très bien, mon cocu d’amour. J’espérais bien que tu finisses par aimer le escort aydın sperme, car moi aussi j’ai un fantasme…— Ah bon ? lui demandai-je.— Oui, mais on verra plus tard… me répondit-elle d’un ton sec.Puis elle commence à me raconter sa journée :— Tu te rappelles de Paul ?— Le maître-nageur des thermes, ton amant amoureux transi de l’an dernier ?Elle récupère alors, toujours du bout du pied le liquide épais et visqueux qui s’était répandu autour de mon pec’ et me répond en continuant de me faire lécher ses orteils.— Oui, oui, c’est bien lui… Eh bien, il est toujours autant amoureux ! Figure-toi que lorsque tu m’as envoyé ta réponse ce midi, il venait juste de rentrer dans le réfectoire afin de me faire un coucou.— Hmm, sglurp. Et alors… zzuiiuuus ?— Chuttt ! Tais-toi et lèche, mon pied colle encore un peu.Elle récupère alors le sperme issu de la troisième salve s’étant répandu au niveau du nombril afin que je poursuive le nettoyage. Je commence à y prendre goût… C’est franchement pas si mauvais que ça et ça commence même à m’exciter, à moins que ce ne soit l’attente de savoir comment elle avait occupé sa soirée qui me procure quelques frissons.Je lui nettoie donc le pied du bout de la langue, du bout des lèvres. J’adore ses pieds, fins, toujours bien entretenus. J’adore les embrasser et cette action me laisse une vue imprenable sur ses cuisses que je me mets à caresser doucement, tendrement.Toujours est-il que mon sexe commence petit à petit à regonfler légèrement. Quelle forme aujourd’hui ! Je n’en finis plus de bander, je me demande quand même d’où me viennent toutes ces ressources insoupçonnées ? Elle poursuit son récit :— Donc, il est rentré dans le réfectoire et après m’avoir fait la bise, je n’ai pu résister à lui faire lire les textos que nous venions d’échanger. Il a été assez surpris, mais comme ça l’a fait sourire, je lui ai dit que s’il voulait toujours de moi, j’étais du coup plus disponible et prête à m’impliquer un peu plus que l’année passée dans une relation avec lui.Audrey récupère à nouveau ce qui pouvait rester de ma semence sur mon ventre— Eh bien, dis donc, t’es un sacré gourmand… Il n’en reste presque plus, tu vois que tu aimes ça, mon cocu ! me dit-elle l’air radieux en regardant mon pénis reprendre vie.— C’est donc avec lui que tu as passé la soirée ? lui demandai-je.— Il m’a effectivement proposé de passer la soirée avec lui.Elle commence à déboutonner son chemisier et enchaîna en le retirant doucement :— Il a été infatigable ! Je suis crevée, mais qu’est-ce que c’était bon ! Y a pas à dire, ça queue est quand même vachement meilleure que la tienne…La voilà à moitié nue, mes yeux la caressent du regard et j’ai l’impression de redécouvrir son corps, sublime et ô combien désirable. Ce corps qui quelques heures auparavant était certainement couvert de caresses provenant des mains d’un autre… J’imagine combien il a dû aimer la caresser, l’embrasser et la désirer…Mes mains remontent alors le long de ses cuisses, soulevant de la sorte sa jupe afin de, moi aussi, parcourir sa peau du bout des doigts et lui flatter doucement les fesses. J’aspire son pied, désormais propre, comme pour le laver encore et être sûr de n’avoir rien laissé. Audrey poursuit quant à elle son effeuillage en laissant glisser sa jupe aux chevilles. La voilà presque nue, seul un léger tanga bordeaux l’habille encore.— J’ai joui comme cela faisait des années que ça ne m’était pas arrivé. Infatigable ! Il a remis le couvert trois fois… et m’a fait à chaque fois grimper aux rideaux. Il voulait que je reste pour la nuit et ne voulait plus me laisser repartir.Je me redresse et m’approche pour l’embrasser aydın escort bayan doucement dans le creux des reins, elle sent un peu la transpiration, mais je m’enivre cette odeur. Sa peau est si douce, chaude…— Je lui ai dit que je resterai la prochaine fois, mais que ce soir je devais rentrer. Tu veux savoir quel est le fantasme dont je te parlais tout à l’heure ?— Dis-moi, ma puce ?— Eh bien, j’ai joui comme jamais et… je suis encore pleine de lui, et… je dois avouer que de te voir aimer m’embrasser le sexe et récupérer de la sorte le fruit du plaisir que nous avons eu me rassurerait encore un peu plus concernant ton désir d’être cocu, de me laisser une totale liberté et… cela assoirait un peu plus encore ton statut de cocu. Dis-moi, tu veux bien ?— Tu m’en demandes beaucoup là…— Ne te fais pas prier, mon cocu. Je suis sûre que tu vas adorer et tu ne peux pas t’imaginer comme ça me ferait plaisir !Et elle rapproche son bassin de mon visage, je fais glisser son tanga sur le côté afin de découvrir son abricot gonflé encore du plaisir qu’elle avait eu. Elle s’était donnée à un autre, y avait pris du plaisir, cela m’excite tellement que j’y colle goulûment ma bouche et je me mets à lécher, à gober, à sucer passionnément ce fruit mûr que j’aime tellement et aime encore plus maintenant qu’il ne m’est plus exclusif.Audrey est effectivement pleine de lui, pleine d’un autre. Je n’en finis pas de récupérer ce liquide visqueux, mélange de cyprine et de sperme qui me ruisselle sur les lèvres en un filet continu et dont je m’abreuve.Je me délecte de ce nectar finalement tellement bon, symbole de sa jouissance, symbole de leur jouissance commune, symbole de l’adultère que j’ai tellement désiré et dont elle me fait don.Audrey semble prendre un réel plaisir au cunnilingus que je lui prodigue. Plus j’aspire, plus je l’entends gémir, retenir ses cris de plaisir et plus son bassin ondule au rythme de mes coups de langue.Mes mains lui caressent les cuisses, le bassin, le bas de son dos, ses fesses, ses fesses si fermes et si excitantes qui ont dû faire bander dur son amant. Moi, je bande, je vais re-jouir… J’en peux plus, mais que c’est bon d’être cocu ! Elle me devance dans la jouissance et je la sens partir sous mes baisers.— Ooooh… mais tu me fais jouir mon cocu ! je viiiens ! huumm !Sa jouissance fut communicative, car j’explose à mon tour enduisant de nouveau mon ventre de mon plaisir, certes plus restreint, seulement quelques misérables petites gouttes se déversèrent… Mais quelle journée, j’étais sec !–––oooOooo–––Tous deux éreintés, nous nous allongeons enlacés dans la couette conjugale. Elle se love contre moi et s’endort sans un mot dans mes bras.Pour ma part, le sommeil est plus dur à venir, je profite de sentir sa peau nue contre la mienne. Je lui caresse doucement les cheveux, j’enfouis mon nez dans son cou afin de m’imprégner de son odeur. Je suis heureux, mais le stress me regagne.Quel changement dans son comportement, dans sa façon d’être, sa façon de me parler, d’agir envers moi ! Je me rends bien compte qu’une barrière vient de tomber et qu’une page vient de se tourner.Notre avenir va à coup sûr en être totalement chamboulé. Cela m’excite (je l’avais tant désiré), mais m’inquiète aussi beaucoup. Ai-je eu raison d’insister en ce sens ? Ne vais-je pas le regretter ? Certes, je l’ai voulu et désiré, mais franchement, je ne m’attendais pas vraiment à un changement aussi radical de sa part. À jouer avec le feu ne serais-je pas en train de m’y brûler ? L’avenir me le dira… Toujours est-il qu’une multitude d’interrogations de ce style me hantèrent le restant de la nuit…Je finis tout de même pas tomber à mon tour dans les bras de Morphée, heureux malgré tout ! J’étais enfin cocu. Oui, là je me sens vraiment cocu et pour le moment cette sensation me plaît, m’enivre. Il faut que j’arrête de cogiter et que je me contente de profiter…
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